C'était il y a quelques semaines. Dans ma boîte aux lettres (aussi chargée de prospectus que les programmes audiovisuels de spots publicitaires - ma boîte électronique, elle, est férocement protégée par la conjonction de son système de protection interne (j'utilise bien évidemment Mozilla Thunderbird) et de celui de l'université). Un de ces condensés de magazines, supposé donner au client un aperçu suffisamment juteux pour qu'il devienne, de potentiel, effectif. La chose (qui ne mérite pas d'autre appellation mais se verra sans doute qualifiée de magazine pour les besoins de la cause littéraire et mon horreur de la répétition) s'appelle « Women's Health » (la santé des femmes).

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