En ces jours tristes où la France semble se concentrer sur ses inoffensives défaites sportives plutôt que de s'effrayer de l'apogée des bas-instincts (peur de l'autre et confiance en soi nourrie par le rabaissement de l'autre) qui semble particulièrement se déchainer ses derniers temps, mon titre ne fait même pas allusion à un certain chef d'État livré avec talonnettes.

Un déjeuner avec quelques uns de mes collaborateurs m'a en effet permis d'ouvrir mes grands yeux innocents sur le conservatisme radical et bas du plafond de notre ami le skateur cinglé, qui souffre (comme c'est surprenant) d'une impopularité galopante parmi l'ensemble de la population qu'il vient à rencontrer.

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