Elles étaient super chouettes. Et plus encore. Parce que j'étais ravie (et pas qu'un peu) d'avoir à nouveau mes petons en France (d'ailleurs je n'ai presque pas pleuré quand l'avion pour Philadelphie a décollé), parce que c'était bon d'être loin de la très chic et artificielle Irvine et de mon labo (les connexions à distance, c'est pas la même chose), et aussi grâce à un tas de gens bien que je remercie mille fois :

[...]