J'ai reçu plusieurs fois la touchante lettre de Mlle Marie Thérèse Coulibaly dont les mots traduisent avec précision un tel désespoir, une telle tragédie, que je me dois de la faire connaître. Vous excuserez, je l'espère, les exclamations in petto que je n'ai pu m'empêcher de retranscrire.

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